un après-midi de constellations, de silence, le sons, d’énergie, d’information, de souplesse … beaucoup de vie, vie pure. Merci à tous ceux qui l’ont fait possible … et aux nôtres, venus devant nous … avec tout.
Et ici et maintenant, je dis oui, oui à la Vie, telle qu’elle est.
Quelque chose vient de bouger, quelque chose s’est passé qui touche une émotion profonde (ou cachée) en moi et je ne sais pas ce que c’est. Je veux entendre et je n’entends pas, je veux voire et je ne vois pas, je veux comprendre et je ne comprends pas. Seulement mon corps se met en garde subtilement, et je ressent qu’il veut s’arrêter, ne pas bouger pour permetre que ce qui est en train de se passer – et je n’entends pas, je ne vois pas, je ne comprends pas- puisse trouver son emplacement, se déposer dans les eaux calmes. Il est une calme active, humble, respectueuse et confiante … peut-être le sédiment est nutritif et peut donner des fruits, quelque part, quelque temps… dans mon être dans le tout.
Changement profond est d’être certain que ce qui est ancien en moi ne me sert plus, c’est passé est laissé derrière sur la route.
Le changement profond est de sentir d’incertitude que ce qui est nouveau n’est pas encore complètement arrivé, que je ne comprends pas, que je ne peux pas le saisir.
Parce qu’il ya des changements qui doivent être faits, malgré les voix terribles connues, par la crainte inévitable … et, nous l’espérons, se laissant bercer par les eaux de la vie qui s’écoulent quelque part au plus profond de notre être.
Ce qui est étrange, est de vivre. La confusion, les problèmes, les peurs, les charges, la vie quotidienne confortable et paisible … et un jour, un moment de clarté (ou de folie, indiscernables) se produit: tout ce qui est connu, toutes les relations, toutes ces difficultés, tout, absoluement tout semble différent. Ce qui est réel, semble une histoire, ce qui est nouveau -vu de l’extérieur, hors du temps et de l’espace, semble réel. Et une autre vie, une vie composée de nombreuses vies, du bon et du mauvais, tout ensemble dans une danse, une dance précipitéement, incompréhensiblement, simplement harmonieuse. Et puis, continuer à pagayer dans cette vie étrange, celle-ci, celle-là.
Le sang de nos ancêtres , notre sang, circule à travers les générations, poussant, parfois fertile, parfois déchaînée … aucun des barrages peut-il retenir la vie qui vient à nous par nos ancêtres. Si la douleur me fait fermer les yeux, le sang semble seulement s’arrêter, mais le sang pousse au profond, me lie à tous ceux qui sont partis. Je ne peux que regarder, dire oui à tout ce qui était, reconnaître leur douleur et leur force, leur donner dans moi sa la place de dignité, tel que ça est. Et moi, dans mon petit maintenant, juste faire partie de ce clan, humblement m’incliner devant ceux qui ont déjà vécu leur vie, accepter la mienne et libérer un peu plus, ceux qui sont venus à travers moi, après moi.
Sûr mes doigts, le froid du matin dur des vêtements mouillés, froissés … et propres.
Sûr mon visage, par surprise, le premier soleil, défiant confiant, simple mais solennelle, le brouillard de la nuit.
Comme il est à l’intérieur il est à l’extérieur, si je le crois, si je le veux, si je fais confiance.
Et une frêche joie circule tout simplement parce qu’elle le veut.
Désolé, cet article est seulement disponible en Català et Espagnol Européen.
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Lorsque nous laissons de côté ce que nous voulons vraiment, nous nous détachons de ceux qui nous avons plus aimé, nous relâchons même cette notre existence, nous pouvons soudement vivre à nouveau. Vivre la vie comme le don qu’elle est, en profiter plus pleinement, aussi soutenir la maladie et la douleur et vivre avec moins de peur en sachant que nous avons déjà mort.